dimanche 21 mars 2021

Souvenirs introuvables, tome 1 : Jade

Auteur : Laura WILHELM

Pages: 133

Style: Thriller

Edition: Auto-éditions

Parution: 5 Décembre 2018

ISBN: 978-1790694952

Prix papier : 5,99€


Jade est une brillante étudiante en journalisme, elle a vingt-cinq ans et ne veut aucun homme dans sa vie. Sauf que...


Elle ne se souvient de rien!


Totalement amnésique suite à un accident de parapente qui aurait pu la tuer, elle décide de réintégrer son ancienne vie. Elle va découvrir des facettes d'elle même qu'elle va détester et va tout faire pour retrouver ses souvenirs.


À ses risques et périls ...





Comment reprendre le cours de sa vie quand on a perdu la mémoire ? 

Jade a eu un accident de parapente et a été retrouvé presque morte dans un arbre. A son réveil, elle a perdu la mémoire et ne se souviens pas de qui elle est. Elle reprends le chemin de son appartement et de l’université mais sans avoir recouvré ses souvenirs. Elle va être confronté à ses amis, des gens détestables mais aussi à la Jade qu’elle fut à l’époque. Elle doit réapprendre à vivre peu à peu avec son insouciance de perdue. Très vite, elle pourrait se rendre compte que son accident n’en est peut être pas un … 


Jade est une jeune femme avec beaucoup de caractère. Bien que sa mémoire se soit envolée, elle garde se côté très rebelle, une personne qui n’a pas peur d’aller à la confrontation, aux conflits. Malheureusement, cela peut avoir des conséquences. Elle donne l’impression d’être une personne hautaine, froide et distante, ce qu’elle est d’une certaine façon. Toutefois, c’est une manière de se protéger. Jade ne se résume pas seulement à ça. C’est un personnage fort, une femme moderne. Soit on apprécie ce protagoniste, soit on la déteste mais dans ce cas là, ça pourrait s’apparenter à de la jalousie. Les jeunes femmes sont soit indifférente envers elle, soit des amies ou des personnes jalouses. Elle attise les convoitises et est une femme populaire, qui attire les regards. De quoi susciter de la haine chez certaines personnes pouvant amener certains à commettre l’irréparable …


J’ai aimé la façon dont les autres personnages sont travaillés. Le lecteur sait peu de choses sur eux mais cela n’est pas non plus très important. Ils sont présent et jouent une place essentielle (ou non) dans la vie de Jade. Leurs interventions vont amener la jeune femme à découvrir son passé mais aussi la personne qui lui souhaite du mal. J’aurai aimé que certains personnages se dévoilent plus. Ils semblent intéressant avec des choses à cacher… notamment le « soldat » et l’ami mystérieux de Jade. 


Ce roman est très court mais intense en émotions pour le lecteur. L’écriture est fluide et la plume toujours aussi agréable à lire. Dès les premières pages, le ton est donné. Le roman étant court, on ne passe pas par des chemins détournés pour découvrir la vérité, l’auteur amène le lecteur à l’essentiel. Pour autant, elle n’en oublie pas l’intrigue et de mettre un suspens de dingue. Elle nous mène par le bout du nez même si peu à peu les nuages se dévoilent pour nous laisser entrevoir certaines pistes. L’histoire est très bien construite avec un fil conducteur très précis. On pourrait souhaiter plus de précisions, une fin un peu plus longue, une romance plus marqué mais là n’est pas le but de ce livre. On a un roman qui nous livre une ambiance pesante et excitante à la recherche d’une vérité et d’un coupable. Tout est comme il faut pour apprécier cette histoire. 



Je suis triste d’avoir fini aussi rapidement ce livre et de ne pas en savoir plus sur Jade et son devenir. J’aurai aimé découvrir comment elle allait se reconstruire après toutes ses épreuves et savoir si une historie d’amour allait voir le jour pour elle ! 

mercredi 17 mars 2021

Le Triptyque : Asphyxie - Prologue

Auteur :  Clélia VALMONT

Pages: 12

Style: Thriller

Edition: Auto-éditions

ISBN: 978-2-379602-33-7


1956, Belgique. Une petite fille disparait. Les témoins du drame n’oublieront jamais les cris de la mère éplorée, les larmes du petit garçon qui l’accompagne, la peine du père, rongé par la culpabilité. Le petit garçon s’appelle Reginald.


1971, Zaïre. Tandis que le soleil brûlant se couche sur Kinshasa, un couple laisse leur fille Caroline seule pour s’occupe de sa petite sœur. Une nuit dont les conséquences seront fatales.


2011, Belgique. Reginald et Caroline sont mariés. Ils ont tous deux perdu une sœur, ils se comprennent et se méritent. Ils ont deux enfants : Karen et Raphaël. Une famille parfaite, enviée de tous. Mais n’oubliez pas : les apparences sont souvent trompeuses…




Ce prologue nous met dans l’ambiance de la série de l’auteur. Avec ses quelques pages, elle pose le décor et les dramatiques événements qui amènent les personnages dans la vie qu’ils ont. Le lecteur comprend que les personnages ne sont pas tous blanc et ont du sang sur les mains. Très vite, on se fait une idées du comportement de chacun et ce qui les as fait disjoncter pour quelques uns. Aucun d’eux ne sont blanc. Chacun vit à une époque différentes mais tous ont du surmonté une terrible épreuve..


On sent que ce prologue amène le lecteur vers une histoire sombre, noire où les secrets se cachent dans chaque coin de placards. L’auteur nous dévoile une histoire qui s’étend dans le temps, l’une en 1956, une autre en 1971 et la dernière en 2011. Ainsi, on découvre leurs histoires simultanément. Les événements sont imbriqués les uns avec les autres. Ce qui est dommage, c’est la façon dont c’est réalisé. Je me suis perdue entre les familles et les époques à un moment du récit. La démarcation entre le changement d’époque ne m’a pas paru évidente et j’ai du relire le passage pour me figurer qui était qui. 


Hormis cela, ce court prologue promet un roman fort intéressant, avec beaucoup de suspens et des événements encore plus tragiques. 

mardi 16 mars 2021

Confidences d'une fleur bleue

Auteur : Sabine RICOTE

Pages: 200

Style: Romance contemporaine / Feel-good

Edition: Livresque éditions

Parution: 04 Mars 2020

ISBN: 978-2-379601-18-7

Prix ebook : 4,99€

Prix papier : 14,90€



Anaïs cherche l'Amour avec un grand A. Entourée de ses animaux perspicaces et de son amie Sophie, elle multiplie les rencontres et brosse sans retenue les portraits de ses soupirants. D'aventures cocasses en rendez-vous désastreux, Anaïs étudie les comportements masculins et s'interroge sur les raisons de son célibat. Parfois désabusée, elle se ressaisit en évoquant avec humour ses souvenirs d'enfance et pose un regard amusé et décalé sur des confidences bourrées d'autodérision.

Son côté fleur bleue affleure et elle sait se laisser guider vers le meilleur.






On suit les déboires et des moments de la vie d’Anaïs avec sa meilleure amie Sophie. Toutes deux sont à la recherche de l’amour avec un grand « A ». Pour cela, elles vont multiplier les rencontres et différents moyens pour arriver à le trouver. De rencontres en lignes sur les sites de rencontres, aux speeds dating, les amies ne sont pas au bout de leurs peines. 


Anaïs est une jeune femme jolie, simple et fleuriste. Elle est à la recherche de l’amour et est une femme très « fleur bleue », tout comme le nom de son magasin. Elle est accompagnée de sa meilleure amie qui l’emmène (souvent) dans des plans farfelus (et foireux) pour rechercher l’Homme de leurs vie. Anaïs cumule, a elle seule, de nombreux clichés. Elle est célibataire, vit seule avec son chien et un chat qui ne lui appartient même pas. 

Sophie est une pile électrique et est tout aussi sympathique qu’Anaïs. Contrairement à ce que l’on peut penser, elles ne sont pas du tout naïves, elles aiment boire et s’amuser. Je les ai tout de suite aimé !! 


C’est un roman qui se lit très rapidement. Il fait du bien au moral notamment avec Anaïs et Sophie. Ce sont des femmes assez simple, banales qui souhaite juste être heureuses, rencontrer leur moitié et fonder une famille. Ce sont des madames tout le monde et il est assez simple de se reconnaitre en elles. 

L’écriture est légère et fluide. L’auteur nous livre certains moments de la vie de la jeune femme qui ont une suite logique dans le temps. On passe de désillusions, aux rires et aux rêveries. On se met nous aussi à rêver… Rêver de l’Homme de notre vie, aimant et idéal (dans la limite du raisonnable!). Et puis, rêver ne fait pas de mal. 

C’est un livre où il fait du bien de se laisser aller sans penser à rien. J’ai passé un moment de détente et de rires. On oublie les problèmes du quotidien !


Ce livre est un peu comme un message à toutes les célibataires. Il ne faut pas perdre espoir et rire de ses mésaventures plutôt que de pleurer sur son triste sort et de se laisser aller. Personne n’est à l’abri d’une rencontre qui pourrait changer sa vie ! 

vendredi 5 mars 2021

Songes Obscurs

Auteur : Stéphanie DELECROIX

Pages: 326

Style: Thriller

Edition: Livresque éditions

Parution: 03 Mars 2021

ISBN: 978-2-379602-33-7

Prix ebook : 4,99€

Prix papier : 19,90€


Abigaelle souffre d'agoraphobie. Elle vit recluse, de peur d'affronter l'extérieur. Elle survit grâce à sa passion, la peinture, et son emploi d'hôtesse de téléphone rose. Depuis quelques jours, elle est sujette à des cauchemars qui la troublent de plus en plus.


Andres est entré dans les forces de l'ordre pour deux raisons : pouvoir profiter de son poste de policier pour réaliser de petits trafics et retrouver sa sœur. Alors qu'il soupçonne son supérieur de vouloir le faire muter, ce dernier lui attribue une enquête. Un tueur semble vouloir prendre sa ville pour un terrain de jeu.


Lucy n'a pas d'états d'âme, elle tue de sang-froid. Pas de mode opératoire précis, juste l'envie d'atteindre cet état de grâce qu'elle ressent après avoir prononcé ces mots : « Cible effacée ».




Ramirez est un personnage qui m’est tout de suite antipathique, détestable. Il est flic mais c’est aussi un « petit » ripou qui fait des trafics et arrondi ses fins de mois (vente de coque faisant parti de certains scellés, vente d’informations aux journalistes…). Il a tout du macho, accro au sexe et à l’alcool qui se moque de tout et tout le monde. Il est perfide et j’en passe. Un personnage qui ne donne pas un bonne image dès les premières pages de lecture. Toutefois, au fil de la lecture, il a réussi à me faire changer d’avis. Il a remis en question tout ce qu’il savait. Il va même apprendre à aimer. 


Abigaelle est une personne renfermé sur elle même suite à un traumatisme qu’elle a vécue plus jeune. Sortir de chez elle devient insurmontable depuis qu’elle a été diagnostiquée comme agoraphobe. Sa passion, c’est la peinture mais difficile d’en vivre au quotidien. Alors, pour pouvoir se payer son appartement et sa nourriture, elle travaille pour le téléphone rose le soir. Elle vit un peu par procuration et le monde extérieur, elle le voit par sa fenêtre.


Et on a aussi Lucy, une tueuse en série, femme fatale et sûre d’elle. Elle tue sans raison, pour assouvir un besoin et atteindre une forme de Jouissance. Folle ? Elle l’est mais aussi. Elle a une rage et une part très sombre qui lui font commettre des crimes abominables, qui ne cesse de l’être encore plus à chaque meurtre. Elle est intéressante et aussi détestable pour ses actions. 


Je ne sais pas de qui, entre Lucy et l’auteur, est le plus tordu. Je dirai tout de même l’écrivain ! Pour avoir une telle idée de scénario, elle a du en voir des épisodes de séries policières. J’ai aimé son imagination débordante et ses nombreuses idées. Je me suis retrouvée comme devant la télé à regarder un épisode macabre dont l’issue n’est pas du tout joué et reste longtemps un mystère. Il y a de nombreux rebondissements et une intrigue palpitante. J’étais loin de m’imaginer quel coup tordu elle allait nous pondre. Il y a un fil conducteur très précis et rien n’est laissé au hasard. Il y a des indices qui sont laissés en évidence mais, là encore, je n’ai pas été capable de les interpréter dans l’immédiat. Ça ne manque pas d’actions et d’évènements pimentés. 

Par moment, au vu du sadisme des auteurs, je me demande si ce livre n’a pas été une sorte de défouloir envers des personnes détestés… haha ! 

La plume est macabre mais avec quelques notes de légèreté et d’humour (si,si, je vous l’assure). Le rythme de lecture est parfait et les pages défilent rapidement ! 


Si je devais résumé succinctement ce roman, je dirai cela : Âmes sensibles s’abstenir ! Si vous avez le coeur fragile et que l’hémoglobine vous fait peur, ce livre n’est peut être pas conseillé pour vous. 

A contrario, si vous êtes un adepte de la série « esprits criminel », que vous mangez en regardant un épisode de Bones en vous délectant, alors vous êtes au bon endroit. Ce livre pourrait vous convenir et devenir votre future lecture de table de chevet. Petit plus : à lire à une heure très tardive, dans une semi obscurité. Ambiance propice pour profiter à fond de votre lecture ! 

lundi 1 mars 2021

Les évaporées, tome 2 : Je voudrais le père

Auteur : Luc RODARO

Pages: 318

Style: Epistolaire, policier 

Edition: Livresque éditions

Parution: 03 Février 2021

ISBN: 978-2-379602-23-8

Prix ebook : 4,99€

Prix papier : 19,90€


Été 1999, un couturier de renom effraie le monde avec ses prédictions millénaristes. La Bretagne pleure six jeunes scouts embarqués vers une mort certaine par l’inconscience d’un abbé. La Bretagne tremble à l’annonce de plusieurs femmes retrouvées mortes en marge de ses festivals d’été, toutes retrouvées étouffées, cheveux tailladés, toutes affublées d’une jupe bleu marine.


Comment l’orphelinat Saint-Georges, havre de paix aux jardins fabuleux, directeur charismatique et pédagogie de pointe, pourrait-il être l’épicentre d’une telle folie meurtrière ? Comment pourrait-il être le refuge de tant de disparitions inexpliquées ? Comment une handicapée clouée dans son lit pourrait-elle être la seule à « voir » les choses et déjouer l’assassin ?







Après avoir lu le premier tome, j’étais curieuse de savoir comment se terminait cette histoire. 



On retrouve Pol et Héléna là où on les avaient laissés. Il y a de l’eau dans le gaz entre eux pourtant, il y a une solide relation qui  les lies. 

Lors d’une festival de musique, ils vont tout deux être les témoins d’une tentative de meurtre avortée. Les connaissant, ils ne vont pouvoir s’empêcher d’enquêter sur ces événements. 

Depuis le placement de Rita à l’Orphelinat Saint Georges, Pol essaie de rester en contact avec la jeune fille en secret. N’ayant plus de ses nouvelles, une idée lui vient à l’esprit. Ainsi, Héléna et lui vont envoyez une lettre à l’Abbé et faire la demande d’intégrer l’établissement pour y enseigner. Le directeur accepte sous certaines conditions. Voilà nos tourtereaux entrer dans cette établissement qui est un havre de paix mais aussi l’épicentre de nombreux mystères que rêver de résoudre Pol. 


Je ne saurai en dire plus au risque de révéler certains événements importants. 


Dans ce second tome, j’ai trouvé les personnages de Pol et d’Hélène plus abouti, plus attachant. Leur différence d’âge est devenue une force et non un fardeau, ce qui semblait être le cas pour Pol. Héléna a toujours cette fougue de sa jeunesse là où Pol est plus posé, mature. Ils sont au antipode l’un de l’autre mais c’est ce qui fait le charme de ce couple. Ils se complètent et ont tout deux une âme de Sherlock Holmes. 


Si j’avais eu un peu de mal avec le style d’écriture, celui-ci ne m’a pas du tout dérangé lors de ma lecture. J’ai même su apprécier cette façon de raconter l’histoire qui change de tout ce que j’ai pu déjà voir. Pol à une manière bien à lui de raconter les événements qui donne un peu de fraicheur à ce livre. Cela fait du bien, ainsi que ses anecdotes surtout lorsque l’on voit les événements qu’il relate. Ça fait parfois froid dans le dos. La lecture est, à mes yeux, plus fluide. 


Finalement, j’ai su apprécié cet échange de lettre qui m’avait moyennement plu lors de ma première lecture. Ici, il s’agit plus d’un échange mais cela me fait surtout penser aux mémoires du personnage, des preuves de ce qu’il découvre mis à l’écrit au cas où il lui arrive quelque chose. Parce que oui, Pol ne se sent pas en sécurité au fur et à mesure de son avancée dans les nombreux mystères qui entoure l’orphelinat. Qui a dit que les prêtres étaient si bienveillant ?


Si de nombreuses questions restaient en suspens à la fin du premier tome, cela ne va pas aller en s’arrangeant avec cette suite. L’auteur accentue son intrigue et la rend plus pesante et dense. C’est un tas de noeuds qu’il est difficile de démêler. 

Il y a une montée du suspens qui va crescendo. Celui-ci devient lourd et dense. Déjà, je trouvais l’intrigue très travaillé. Ici, elle l’est d’autant plus et aboutie. Elle est plus complexe qu’il n’y parait et prend de plus en plus d’ampleur au fils des pages. 

Le lecteur n’a pas le choix, il doit prendre son mal en patience et lire le roman pour connaître la suite des événements. 


Dans ce roman, l’attente est insupportable. L’enquête que mène Pol va plus loin que ce que j’aurai pu imaginé. Avait-il du flair, une intuition ou était-ce son instinct ? 

L’auteur a eu de beaucoup d’imagination en écrivant ce livre. Les événements sont plus macabres et plus sombre dans ce deuxième tome. Les premières pages sont assez légère puis le lecteur connait une plongée au coeur de l’histoire. Très vite, il est mis dans le bain. 

Il y a bien entendu des moments de doutes, mais aussi des instants plus calme et posés. Il faut bien que le lecteur puisse reprendre son souffle ! 



Ce que le lecteur découvre dépasse l’entendement. Cet Orphelinat est un peu comme  une maison des horreurs. En commençant cette duologie, je ne m’attendais pas à une histoire aussi bien construite. C’est en terminant ce livre que l’on se rend compte du travail et du génie de l’auteur. Finalement, rien n’était laissé au hasard. On avait toutes les réponses sous nos yeux mais incapable d’en comprendre le sens et les signes. C’est tiré par les cheveux mais pas tant que ça quand on y pense. 


Je ne pensais pas autant apprécié cette série. La preuve en est, j’ai littéralement dévoré la suite n’en pouvant plus des sous entendu et mystères que faisait l’auteur. 


Je ne saurai en raconter plus de peur de vous livrer les secrets de ce roman. Il faut le lire pour prendre pleinement conscience des tenants et des aboutissement de l’histoire. J’ai été de surprises en surprises du début à la fin. Je ne regrette pas de m’être un peu forcée à avoir lu le premier tome. Ça aurait été grandement dommage de passer a côté d’une histoire comme celle-là !